Les contribuables américains devraient, rétrospectivement, pousser un soupir de soulagement quant au fait que New York n’ait pas été sélectionnée, il y a sept ans, parmi les cinq finalistes pour accueillir les jeux Olympiques de cet été. Le choix de Londres comme ville d’accueil par le Comité International Olympique (CIO) garantit aux contribuables britanniques de payer une note exorbitante pour l’événement sportif le plus économiquement discutable au monde.