Ted Galen Carpenter - Le 30 juillet 2009. Depuis le début de la crise du programme nucléaire nord-coréen en 2002, l'hypothèse dominante parmi les élites politiques aux États-Unis et en Asie de l'Est était que Pyongyang ne cherchait qu’à améliorer sa position dans les négociations. Il était soutenu qu’éventuellement le régime de Kim Jong-Il serait d'accord pour renoncer à ses ambitions nucléaires en échange de concessions de la part des autres membres des pourparlers à six, en particulier les États-Unis.