Sophie Quintin-Adali, le 19 octobre 2009 - Les dirigeants de l’Union européenne n’ont pas envie de rire et montrent des signes d’impatience. Le Président tchèque, Vaclav Klaus, ne suit pas la ligne du « oui » en annonçant qu’il souhaitait un « opt-out » concernant la Charte des droits fondamentaux, une initiative qui pourrait en retour provoquer des demandes similaires par d’autres Etats-membres. Qu’y a-t-il de mal à cela ?