Emmanuel Martin, le 27 février 2008 -
Quelque chose avait changé ce matin quand je me suis rendu à mon travail. L’orage de cette nuit a bien arrosé la nature, dégageant ainsi un air vivifiant. Mais le quelque chose de différent est ailleurs. Généralement, après un orage, je peste contre les flaques d'eau qui salissent ma voiture. Et quand il n’y a pas eu d’orage, je peste, aux mêmes endroits, contre les trous dans la chaussée qui détériorent peu à peu mes amortisseurs et font le bonheur de mon garagiste. Je me demande d’ailleurs souvent si les fabricants d’amortisseurs ne donnent pas des pots-de-vin aux divers responsables de la voirie