En 2014, le ministre de la santé, Aaron Motsoaledi, accusait les compagnies pharmaceutiques d'être « sataniques » et « génocidaires ». Lors de son récent speech à l’occasion du vote du budget de son ministère, il continue en soutenant que « les prix sont tels que les médicaments anticancéreux sont devenus diaboliquement inabordables. Si aucune mesure drastique n’est prise aujourd'hui, nous allons compter les sacs mortuaires comme en temps de guerre. ».