En Tunisie, la question du retour d’à peu près 5000 combattantspartis faire le « Jihad » pour le compte de Daech (Organisation de l’Etat Islamique), n’a eu de cesse d’attirer l’attention de l’opinion publique, si ce n’est de l’inquiéter. En réaction à cette perspective troublante, certains appellent à une amnistie, quand d’autres cèdent à la facilité répressive. Par quels moyens peut-on réduire au minimum les risques liés à ce retour déjà en marche ?