Les problèmes socioéconomiques apparemment insolubles de l'Afrique du Sud sont une conséquence de la politique gouvernementale, qu'elle soit délibérée ou non. Aucun bouc émissaire, comme le colonialisme, l'impérialisme, l'apartheid, le secteur privé ou le concept maintenant discrédité du monopole blanc du capital, peut nier ce truisme. La faute, en fin de compte, incombe directement et exclusivement aux décideurs politiques, en particulier ceux qui sont dans l'arène parlementaire qui ont le dernier mot dans l’élaboration et le suivi de l’implémentation des politiques publiques, que le reste de la population, en particulier l'entreprise privée, doit suivre.